La famille selon Dieu : Un constat plus que déplorable
Aujourd’hui, les médias en parlent sans en parler, l’évoquent sans le définir par des mots compréhensibles par tous, le soutiennent sans vouloir se mouiller, et, le défendent avec ardeur sans le faire paraître.
Oui, la famille est devenue un « bien de consommation ».
L’Homme se vante de ses progrès, de sa libéralisation sexuelle, de son avancée dans la défense des Droits de L’Homme, mais ce, sans saisir la véritable portée de cette vague destructrice déjà agissante dans nos foyers. A l’heure actuelle, 44% des mariages, soit presque un mariage sur deux, se termine par un divorce selon l’étude de l’Insee publiée en 2016. [1]
Ces statistiques sont alarmantes et pointent toutes du doigt l’instabilité de la cellule familiale. Durant ces cinquante dernières années, la notion de la famille s’est transformée en un vaste fourre-tout dans lequel seule la satisfaction personnelle est importante, et ce, sans prendre connaissance des conséquences et des dégâts engendrés par certaines décisions prises égoïstement, de manière ouverte et assumée.
Il n’est pas rare de rencontrer un père ou une mère de famille abandonner son foyer, époux, épouse, fils et filles afin de vivre le grand amour avec un individu quelconque ; rencontré dans des circonstances parfois plus que douteuses, mettant en avant l’excuse de l’aspect éphémère de la vie, et la nécessité de faire passer son bonheur avant toute chose.
Voici l’étendue de la perversion proposée par la société !
“Être fidèle à deux hommes, c’est être deux fois plus fidèle”
Derrière ce qui peut s’apparenter à un phénomène social caractérisé par l’individualisme, l’égoïsme et la recherche de la satisfaction personnelle (adultère, masturbation, pratiques diverses), se cache en vérité un plan du diable très élaboré dont l’objectif est de détruire la souche familiale.
Que dire de toutes ces déviances, qui nous vous le rappelons, étaient tabous par le passé, et qui semblent aujourd’hui, non seulement normales, mais aussi légitimes et encouragées. Le gouvernement, dans ce vent de débauche, tend à légaliser et normaliser toutes sortes de pratiques et d’alliances contre nature selon la Parole de notre Elohîm (Dieu), conduisant le monde dans un état de ténèbres plus qu’alarmant.
Au vu des faits mentionnés ci-dessus, nous comprenons que la souche familiale subit une forte pression par rapport au péché.
Ci-dessous, une vidéo nous montrant des parents qui enseignent à leurs jeunes enfants (entre 7-12 ans environ) les principes de la masturbation :
https://www.youtube.com/watch?v=-0vPqxSVaG4
Sommes-nous réellement dans un monde en « évolution » ? Sommes-nous réellement ces êtres intellectuels et civilisés que nous pensons être ? Le peu de science que nous parvenons à comprendre nous fait-il oublier toute cette débauche dégénérative ?
En effet, la jeunesse et le monde en général se sont plongés dans la boue du péché.
Chacun est encouragé, soit par la société, soit par sa famille ou des proches, à suivre les penchants de son propre cœur, lui permettant de disposer de son corps comme il ou elle l’entend.
Sous ce « couvert » de liberté se cache un passe-droit au péché, favorisant non la maîtrise de soi, mais l’application de tous les fantasmes et les envies loufoques. Cela conduit à l’adoption d’un comportement plus qu’animal, pourtant loin de la civilisation que nous prônons avoir atteinte.
L’enfant, ne pourra donc pas s’épanouir correctement car ce dernier est continuellement baigné dans une atmosphère de dérèglement moral, où tout est centré sur le “moi”, la chair et ses plaisirs.
Le rapport parent-enfant s’est fortement détérioré.
Il n’est plus question de créer une famille dans le but de répondre à l’appel premier du Seigneur dans l’obéissance de sa Parole, mais juste de satisfaire un désir parfois incompris, de devenir Père, Mère sans comprendre la profondeur de l’appel au Salut qui se cache derrière, ni l’importance de la place de Elohîm (Dieu) au sein de la Famille.
Un désir montant, quelques billets de banque, ainsi que quelques rendez-vous suffisent à une femme pour obtenir la semence de son choix afin de concrétiser cet instinct puissant montant dans son cœur pour la maternité.
Même chose pour les couples homosexuels qui, sans comprendre l’impact associé au fait d’élever un enfant, vont décider d’adopter, non pour pourvoir à l’enfant (en premier lieu) mais pour satisfaire leur propre désir.
Il n’est plus question de donner un cadre stable à l’enfant dans sa croissance mais il est plutôt question de concrétiser un besoin.
« Et l’amour dans tout cela ? N’y a-t-il pas des gens qui s’aiment réellement ?»
Remarquons à quel point l’amour selon le monde est différent de l’amour selon Elohîm (Dieu). Selon ce monde, il m’est tout à fait possible de me séparer de mon conjoint pour une raison X ou Y, sans me préoccuper de l’impact de ma séparation sur mes enfants. Selon le monde, le fait que je me sépare d’eux n’est pas synonyme d’un manque d’amour ; l’amour « sentiment » est considéré comme l’amour véritable.
Or, s’il m’arrive de rencontrer quelqu’un qui me plaît et me correspond plus que mon partenaire actuel et ce, selon des critères complètement subjectifs et superficiels, il m’est également possible de m’en séparer, à cause de « l’amour » que je porte à cette autre personne.
Quel constat terrible !
La Parole de Elohîm (Dieu) nous décrit l’amour, non pas comme étant un sentiment, mais comme étant Yehoshoua (Jésus) lui-même ; celui qui n’a pas Yehoshoua (Jésus) ne peut aimer véritablement.
1 Corinthiens 13 (BYM)
“L’amour est patient, il se montre doux, l’amour n’est pas envieux, l’amour ne se vante pas, il ne s’enfle pas d’orgueil, il ne fait rien de malséant, il ne cherche pas son intérêt, il ne s’irrite pas, il ne tient pas compte du mal, il ne se réjouit pas de l’injustice, mais il se réjouit de la vérité. Il couvre tout, il croit tout, il espère tout, il supporte tout.”
1 Corinthiens 13 : 4-7
La Parole de Elohîm (Dieu) nous enseigne que Elohîm (Dieu) hait le divorce :
“Il leur répondit : C’est à cause de la dureté de votre cœur que Moshe vous a permis de répudier vos femmes, mais au commencement, il n’en était pas ainsi.” Matthieu 19 : 8
“Car Yahweh, l’Elohîm (Dieu) d’Israël a dit qu’il hait la répudiation […] ” Malachie 2 : 16
Elohîm (Dieu) pleure.
Il pleure parce que l’Homme ne cherche pas à comprendre et à se repentir de ses voies d’iniquités, car il le peut, mais ne le veut pas. Pourtant, Elohîm (Dieu) tend toujours sa main vers ceux qui s’attendent à son secours.
“Si mon peuple, sur lequel mon Nom est invoqué, s’humilie, prie, et cherche ma face, et s’il se détourne de ses mauvaises voies, alors je l’exaucerai des cieux, je pardonnerai ses péchés, et je guérirai son pays.” 2 Chroniques 7 : 14
Elohîm (Dieu) est celui qui a créé la famille, et les instructions qu’il nous a donné se trouvent dans sa Parole. Le rôle de l’ennemi est de détruire.
“Le voleur ne vient que pour dérober, et tuer et détruire ; moi, je suis venu afin qu’elles aient la vie, et qu’elles l’aient même en abondance.”
Jean 10 : 10
Elohîm (Dieu) est le Père de la famille. L’unité familiale, source de bénédiction, est la première cible de l’ennemi dans le siècle présent.
Nous aborderons ce thème de la famille plus en détail, au travers de plusieurs articles traitant chacun des sujets importants et essentiels pour la jeunesse.
Yehoshoua (Jésus) revient, il est notre seul Sauveur.
[1] https://www.insee.fr/fr/statistiques/2121566
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